Ceci explique pourquoi l'entrait peu être un câble et qu'il ne faut jamais mettre le poids du toit sur la partie la plus faible le milieu l'entrait travaillerait à la flexion au lieu de la traction.
C'est ce qui arrive si l'étrier est monté avant la pose.
Suivant les charges le poinçon monte ou descend, en appuyant sur l'entrait celui-ci ne travaille plus en extension mais en flexion au plus mauvais endroit. Une erreur classique des gens qui ne sont pas du métier ou des mécano.
Cet étrier ne doit être monté que lorsque toute la couverture est posée chevrons, voliges, tuiles ce qui provoque la descente maxi du poinçon.
S'assurer du jeu entre poinçon et entrait voir ci dessous, ce qui laisse encore au poinçon la possibilité de descendre et garantie un travail à l'extension de l'entrait. (voir fig ci-dessus)
Certaines couverture exige une certaine pente: au moins 30° pour la tuile mécanique etc.
Problèmes de la hauteur des pannes: attention à la hauteur.
Comme on le voit une simple épure permet de choisir dans les tableaux la hauteur optimum. En rdm le moment d'inertie est le produit de la base x le cube de la hauteur divisé par 12. Il faut éviter que la panne s'appuie sur l'échantignole qui est juste là pour la maintenir en position.
Règle :
Attention l'effort sur la panne ou l'échantignole ? une question de pente.
Ce n'est pas une obligation.
La solution 1 avec des entailles permet de tenir la ferme juste avec des pointes. Les moises sont boulonnées sous le poinçon après que la couverture soit posée lorsque la charge est maximum..
la solution 2 : est pratique mais les bois (moisent ne travaillent pas normalement) misent avant la pose. Elles permettent une fabrictaion en atelier au lieu d'un montage sur place.