Disent avec humour les gens du métier à ceux qui croient bien faire en mettant trop de ferrailles. Ce que déteste les charpentiers "les mécannos" qui font de la charpente exemple ci-dessous Pratique, demande aucune compétence, rentable donc moderne.
le principe les pièces métalliques maintiennent les bois en position afin quelles fasses le travail c'est pour cela qu'on dimensionne les bois en fonction des efforts...
En principe les pièces métalliques ne sont pas là pour supporter les efforts comme on le voit dans toutes les constructions actuelles ce qui indique de l'incompétence de l'ignorance par contre on peut employer des gens sous qualifié ou qui ne sont pas du métier et privilégier le montage au détriment de la solidité mécanique
Il fallait y penser une solive qui peut supporter des tonnes en flexion qui est fixé par 6 vis de diamêtre 4mm une stupdité mécanique.
ce sont les bois qui travaillent pas les vis de 4mm. La section des pointes de fixation est supérieure à celle de ces vis plus grandes résistance qui se surajoute à la résistance des bois. Un peu plus long, il faut savoir faire quand la ferraille sera rouillée, les bois seront toujours là avec la même résistance. On peut toujours recommencer sa maison quand le crédit est payé parfois avant (Coluche) la daube est toujours plus chère au final. Un menuisier, un charpentier en met un minimum un incompétent en surnombre. L'assemblage n'a d'autre but de maintenir les bois dans leur position afin qu'ils puissent travailler dans de bonnes conditions, car ce sont les bois qui supportent les efforts et non pas les assemblages de ferrailles dont leur seule fonction est de maintenir les bois à leur place, notament au montage. La charpente finie on pourrait presque s'en passer. On retrouvera cette notion tout le temps. C'est à cela qu'on reconnait la compétence d'un charpentier.
Les "mécanos" font supporter au ferrailes en tous genres les efforts et n'utilisent pas les bois et leurs assemblages. Tendance actuelle gain de temps, incompétence, rentabilité, rien a faire de la durée dans le temps en est l'origine. Les origines des malfaçons dans le bâtiment sont connues et pas spécifique à la charpente.
Les fentes sont des faiblesses, il faut donc les éviter.
Attention l'espace entre la cheminée et le chevêtre 17cm minimum. Assemblage aves des pointes de 160mm ou 180mm
Les efforts ne se font pas sur les boulons ils servent juste au maintien en place des bois.
on peut régler la tension Inconvénients: on ne pourra pas suspendre un plancher La chaleur et la dilation des ferrailles si de gros écart de températures vont faire varier les contraintes.
monter la ferme avec des serres joints. Les bois en place on met le boulon de serrage des moises
On retrouve cette coupe N°1 sur tous les bois. Elle sert a encaisser les charges et faire travailler les bois de façon optimum sans les affaiblir. On évitera les tenons mortaises qui affaiblissent les bois. Si pour des raison esthétique on veut en mettre: s'assurer qu'il n'y a pas de charges importantes ou surdimensionner pour garder une section de bois suffisante.
L'autre partie du schéma montre comment rallonger un entrait qui travaille à l'extension pas à la flexion. La coupe sera souvent boulonner entre 2 fers plats sur toute la longueur de celle-ci. Préférable à un boulonnage direct comme sur le schéma.
Jamais dans le vide toujours sur un appui. Jamais droite cas N°1 En sifflet N°2. Attention au clouage... voir à droite vérifier l'alignement Attention à l'endroit cas bleu N°3 même si la coupe est bonne et sur un appui un chevron court peut être en bascule à cause de la charge la plus importante à cette endroit. Solution inverser voir N° 5 vert cas correct. point à charge mini, et aucun risque de bascule.
Un entrait travaille à l'extention c'est pourquoi on peut utiliser un câble, jamais en flexion. S'il n'y a pas de jeu sous le poinçon N°1, si on boulonne l'entrait et le ferrage N°3 (largeur d'un réglet de charpente) c'est ce qui arrivera. Ce jeu sous le poinçon sous l'entrait au niveau du ferrage sera variable selon le poids de la couverture tuiles neige etc.
Mettre le jeu sur la lambourde N°2 Attention au vide entre solives largeur de l'isolant. Tous les joints parquets plafonds et se font sur les solives pour éviter flexion, désafleur, poussières etc Les pointes L= 140 160 lardées sur les moises supportent l'effort des solives. Attention aux fentes. Des équerres qui emploient des vis de petit diamêtre n'auront jamais la section de 3 crosses (pointes de 160) donc résistance moindre au cisaillement. Par contre pratique mais cher. La ferraille mécaniquement idéale à cette situation n'existe pas elle serait du genre croquis de droite en bleu facile à réaliser soi même cependant. Une pour chaque solive. La pointe sert juste à positionner la ferraille. Aucun effort, clouage mini, pas de fente "le top de la ferraille". On peut envisager des solutions mixtes (renforts) Mettre des étrésillons sur le solivage afin de lui donner de la raideur et répartir les efforts.
Ce sont les bois qui travaillent. Les efforts ne sont pas sur les ferrailles.
Ce sont les bois qui travaillent. Les efforts ne sont pas sur les ferrailles. Suivant la coupe les bois boquent un sens d'effort. Attention de ne pas affaiblir les sections.
Tenon mortaise mordâne ... uniquement pour l'esthétique quand il n'y a pas d'efforts déconseillé car ils diminuent trop la résistance des bois.
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